mardi 10 décembre 2013
Le manioc, plante incontournable en Côte d'Ivoire
En
Côte d'Ivoire, le manioc est cultivé sur toute l’étendue du territoire national. Il occupe, en volume, le
deuxième rang des cultures vivrières après l'igname, avec une production de 2,34
millions de tonnes (FAO, 2009). Le manioc, de par sa rusticité, s’accommode
bien des sols pauvres et acides mais non hydromorphes. Il constitue à la fois une culture de
subsistance et de rente pour les producteurs en majorité démunis. Les produits
dérivés sont multiples (attiéké, foutou, placali, toh, farine, amidon, gari,
etc.). Ils font l’objet de consommation
par la quasi-totalité des couches sociales et de commercialisation.
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Le produit dérivé attiéké est-il obtenu avec toutes les espèces de manioc?
RépondreSupprimerOui, toutes les variétés de manioc peuvent être utilisées pour faire l'attiéké. Mais la qualité peut varier d'une variété à une autre. Une très bonne transformation peut réduire ces différences.
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